Informations complémentaires
Format | 13 x 20 cm |
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Pages | 216 |
ISBN | 9782385190217 |
20.00€
Est-ce d’inégalité ou de brutalité dont le monde souffre actuellement ? Les deux sans doute, mais n’avons-nous pas trop longtemps négligé le second des deux termes – et désappris à résister ?
Telles sont les questions à l’origine de ce livre.
À l’heure où notre monde est en proie à des violences multiples, il propose une plongée unique dans l’histoire de nos représentations de la violence, entre XIXe et XXe siècles.
Après avoir proposé une définition du concept de violence, étayée sur de nombreux exemples, il déploie deux enquêtes socio-historiques : l’une auprès des pères fondateurs de la sociologie (Durkheim, Marx, Weber), sur fond de révolution industrielle et de colonialisme ; l’autre auprès de penseurs ou d’acteurs politiques marqués par l’énigme de la violence de masse (Elias, Hilberg, Arendt, Lénine, Fanon).
Sa conclusion ? Nos modèles de pensée ne nous ont jamais permis de prendre pleinement la mesure de cette « violence crasse », à la fois ordinaire et instable, qui accompagne l’économie politique dans la modernité, y compris aujourd’hui. La regarder en face est pourtant la condition pour construire un monde où la violence n’aurait plus le dernier mot.
Un triple enjeu politique, éthique et spirituel nous attend.
Professeur de sociologie à l’UCLouvain, membre de l’Institut d’Analyse du Changement dans l’Histoire et les Sociétés Contemporaines (IACCHOS), Matthieu de Nanteuil est doyen de la Louvain School of Management (LSM).
À paraître : Face à la violence. Tome 2. Résistances
Format | 13 x 20 cm |
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Pages | 216 |
ISBN | 9782385190217 |