Un reproche est souvent adressé au mouvement écologique : il serait réservé aux classes moyennes supérieures des centres-villes, tandis qu’il ne concernerait pas les classes populaires, voire les prendrait pour cible. Une critique que prend au sérieux Erwan Ruty. L’écologie peut-elle être populaire ? se demande celui qui a été responsable de la commission « Banlieues » d’EELV.