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ISBN | 978356857420 |
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20.00€
Dossier coordonné par Jacques Luzi et Mathias Lefèvre
Les sociétés industrielles sont des (im)mondes technologiques. Les technologies y sont omniprésentes dans toutes les dimensions de l’existence et cette dépendance aux artéfacts ne cesse de s’accentuer avec l’expansion des nouvelles technologies, servant la pseudo-transition énergétique et numérique. La neutralité de cette accélération technologique, comme de sa capacité à surmonter les nuisances industrielles, est un leurre. Ne pas y succomber suppose au contraire de s’interroger sur ses conséquences environnementales et humaines, culturelles et politiques, et, plus généralement, sur la place qu’occupent les techniques dans les rapports villes-campagnes, en fonction du sens donné à la liberté, à la « vie bonne » et à la démocratie. La critique du progrès technologique porté par l’imaginaire de la maîtrise a donc pour corollaire le soutien aux projets cherchant à développer des techniques dont la finalité serait le progrès de l’autonomie d’humanités réaffirmant leur appartenance à la Terre.
Avec les contributions de :
Adrián Almazán Gómez (Université autonome de Madrid), Silvia Pérez-Vitoria (économiste, association La Ligne d’horizon), Aurélien Berlan (Université de Toulouse), Jacques Luzi (Université de Bretagne-Sud), José Ardillo (écrivain), Tom Jo (revue Hors-sol), Chellis Glendinning (écopsychologue), Christophe David (Université Rennes 2).
En librairie en novembre 2020,
ISBN | 978356857420 |
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