Informations complémentaires
ISBN | 978-2-35687-046-9 |
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Pages | 238 |
Format | 14×21.5 |
20.00€
L’histoire du mouvement ouvrier se résume encore trop souvent à la connaissance de ses organisations majoritaires, sous la forme des partis (communistes ou socialistes) ou des organisations syndicales. Ce constat qui est valable pour l’histoire ouvrière française est encore plus prononcé dès que l’on franchit les frontières de l’Hexagone. Le volume de Dissidences a donc pour objectif de dépasser cette situation et d’offrir une première série de contributions permettant d’appréhender les marges du mouvement ouvrier en Belgique.
Située dans l’aire culturelle de la francophonie, la situation politique et sociale de la Belgique demeure pourtant largement méconnue ici. Bien plus, une partie de la vie politique et sociale subit en permanence l’influence des partis et mouvements sociaux provenant de France. Il s’agira donc de se pencher sur les interactions entre ces deux pays. Ce numéro de Dissidences permettra de dresser un premier portrait de différents courants politiques implantés depuis de nombreuses années dans la partie francophone de la Belgique.
Le Sommaire | Volume 7
– Manuel Abramowicz, « Introduction générale »
– Nicolas Inghels, « Le mouvement anarchiste après la Seconde Guerre mondiale »
– Will Stutje, un article sur Ernest Mandel et son rôle dans le mouvement ouvrier belge
– Matéo Alaluf, « Le renardisme, forme belge du syndicalisme d’action directe ? »
– Manuel Abramowicz, « Grippa et la naissance du maoïsme en Belgique»
– Julien Versteegh, « La presse de parti. Solidaire, journal du PTB »
– Nicolas Naïf, « Le PCB, un parti d’extrême gauche ? »
– Guy Desolre, « l’entrisme en Belgique »
– Rijk Hemmerijckx, « Mai 68 ouvrier en Belgique »
– Frédéric Thomas, La spécificité du Surréalisme belge.
Varia
– Massa Patrick, La mobilité sociale en URSS comme phénomène politique
Notes de lecture
Bibliographie
ISBN | 978-2-35687-046-9 |
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Pages | 238 |
Format | 14×21.5 |
Indisponible