Informations complémentaires
ISBN | 2-911803-85-X |
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Pages | 160 |
Format | 14×21.5 |
15.00€
Vincent Peillon démontre que la philosophie de Merleau-Ponty a éte très souvent mal interprétée.
» L’interprétation de la philosophie de Merleau-Ponty souffre d’une lecture partielle qui est aussi une lecture partiale. Lecture partielle, parce qu’elle accorde une importance quasi-exclusive à la Phénoménologie de la Perception, au détriment non seulement de la première thèse, mais aussi des différents projets ou articles rédigés à partir de 1933. »
» Réfléchissant sur le parcours qui fut celui de M.Merleau-Ponty, J.P.Sartre se dit « frappé par l’unité de cette vie ». D’un terme à l’autre de son oeuvre, M. Merleau-Ponty aurait médité une même énigme, celle du « Soi ». Serait-ce pour y chercher « la porte qui s’ouvre sur la nuit de ce qui n’est pas encore soi « , la réflexion de M.Merleau-Ponty se serait toujours tournée vers « l’homme » pour l’interroger sur sa propre énigme. »
Nourrie de phénoménologie husserlienne, l’œuvre de Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) occupe une place particulière dans l’existentialisme. Il a écrit la Structure du comportement (1942), Phénoménologie de la perception (1945). Proche de Sartre en 1945, il rompit avec lui et s’éloigna de la perspective communiste sous la pression des révélations sur le stalinisme et sur l’existence des camps.
L’auteur : Vincent Peillon, agrégé de philosophie, est directeur de recherches au CNRS.
Il a publié :
La Tradition de l’esprit, itinéraire de Maurice Merleau-Ponty, Grasset, 1994 ;
Jean Jaurès et la religion du socialisme, Grasset, 2000.
Au coeur de la gauche (avec Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, le Bord de l’eau, 2002.
ISBN | 2-911803-85-X |
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Pages | 160 |
Format | 14×21.5 |